Charge
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Se regarder minuscule, ratatiné.
- Le 26/09/2019
- Dans Ligne de faille
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Je ne veux pas m’émietter en de petites choses quotidiennes, fades et répétitives. Il faut haïr une société qui oblige chacun à se regarder minuscule, ratatiné, sans offrir l’opportunité intellectuelle de s’élever à une dimension supérieure : la vie collective, instinctive, la culture supérieure, la civilisation. Il n’y a plus de chemin qui élève, qui initie, mais des parcours arbitraires, sans cohérence, qui vont de soi à soi en passant par le loisir et le travail.
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A l'abattoir ! A l'abattoir !
- Le 07/06/2019
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L'homme débarrassé de toute trace de religion, consciente ou non, est bon pour l'abattoir des grandes guerres démocratiques.
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Nous sommes les fauves escortant les vents violents
- Le 21/07/2018
- Dans Ligne de faille
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Notre multitude n'est encombrée de rien ! Elle se prépare au pire. Elle avance, la faim au ventre... une faim d'aventure, de révolte, de grondement. Nous sommes les fauves maigres escortant les vents violents.
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Il plane une odeur de cendre
- Le 05/07/2018
- Dans Ligne de faille
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Quitte à avoir des adversaires, je les préfère exagérément forts. C’est toujours beaucoup plus intéressant quand on exagère. Le courage doit être le même des deux côtés de l’orage. Ce n’est plus le cas. De l’autre côté, le monde s’ennuie, vacille et se réduit. Ils viennent à tout détruire à mesure qu’ils avancent dans leur détestation d’eux-mêmes. Alors, débout sur l’édifice merveilleux de la barricade, je mesure, sans indulgence, l’extrême misère de l’homme et de sa femme anéantie. Il plane une odeur de cendre. Et je méprise cet instant subtil et éphémère, lorsque le monde bascule, lorsque l’homme ressemble monstrueusement à l’homme.
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Croire de nouveau qu’il y a encore quelques rêves à réaliser
- Le 05/05/2018
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M’absoudre dans la beauté crissante du grand lac gelé, aux figures fractales, aux arêtes vives heurtées. Me noyer dans l’ivresse ruisselante de la pluie d’hiver. Courir jusqu'à m'en glacer les poumons, la chair transpercée d’aiguilles de verre que le vent me lance. M’égarer dans la brume gardienne du fracas sourd des coups de tonnerre. Faire lieu d’une cabane, de la contraction d’un moment abandonné de la modernité. Rester loin des carnages, du suicide précipité de l’occident, ce souverain défunt d'une promesse non tenue. Ressurgir de l’exil au printemps. Reprendre à la patère, la veste rugueuse, vieil étendard fidèle de l’aventure. Croire de nouveau qu’il y a encore quelques rêves à réaliser pour les assoiffés de bleus, pour les yeux perdus.
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Inexorablement vers la bombe
- Le 23/02/2018
- Dans Pneumatiques
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J’ai une culture intuitive, lentement levée de mes emportements, allant de prétextes en querelles, de musiques intérieures en hurlements, de conversations à l’écriture, de l’action à la chambre monacale …. mon tempérament assure l'unité du tout dans le long cheminement d’une mèche lente allant inexorablement vers la bombe.
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Opéra pour violon et trinitrotoluène
- Le 16/10/2017
- Dans Ligne de faille
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L'argent, la jeunesse, la vulgarité, le vert, le rouge, le brun ont échoués Que reste-t-il ? Se raser de frais pour un sacré baroud aux confins du monde civilisé. Entre deux guerres sanglantes, écouter Mascagni en se saoulant au Romanée-Conti. Prier la nuit tombée, au pied d'une chapelle abandonnée sur un causse battu par les vents. Boire encore sur le vieux zinc d’un pub de marins bretons aux poings lourds. Allumer des feux. Lancer en chœur des cocktails molotov sur le Panthéon pour faire chier les bourgeois bohêmes et desserrer les mailles qui nous condamnent. Passer la nuit blanche à la plume et au vieux rhum. Repartir dans le jour livrer un combat, encore.
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Acclamés ou damnés, qu’importe !
- Le 28/08/2017
- Dans Ligne de faille
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Acclamés ou damnés, qu’importe ! Nous entraînerons le monde dans les flammes, dans un grand éclat de rire.
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Mais avant il y aura eu la vie !
- Le 02/07/2017
- Dans Joyeuse sédition selon Matthieu
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Il y avait en lui une capacité à s’exiler dans certaines régions valeureuses que plus personne n'osait explorer tant la crasse avait dévoré le monde. Il reprochait à ses contemporains d'avoir abandonné l'esprit de survie, de s’être départis de la peur animale de la disparition de l'humanité. Personne ne pouvait l'ignorer… et pourtant. Lui était prêt à se battre pour montrer qu'il n'avait pas abandonné sa croyance en l'homme.
Il avait pris ses distances avec toutes ces finasseries intellectuelles qui préconisent un retour de l'ascète ou du sauvage, du mystique ou du révolutionnaire ; tous ces préfabriqués de la bande de Möbius d’Assas et de la Sorbonne. Son tourment était si grand qu’il s’était éloigné de la douce poésie des causes perdues et des personnages grandiloquents qui terminent une balle dans la tête, et dont les épigones se battent pour défendre la nécropole de Saint Denis ou celle du Panthéon. Au début, c’est difficile de se contenter de l’essentiel quand on est tendu au romanesque. Les fantaisies sont bien défendues par tout cette clique de petits bourgeois qui terminent leur jeunesse avec du gras autour de la taille, un job de commercial et une cagole en-mini-décapotable comme compagne de lit. Ils crèvent de vanité à se trouver tristes, nostalgiques d’un monde où les bordels avaient pignon sur des rues que l’on pouvait dépaver pour constituer des barricades bancales, que la moindre volonté démonterait en une rafale ajustée. Ils pensent que le progrès en marche viendra tout bousculer. Mais tous s’inclinent et se figent dans le bonheur facile d’un soda frais pris sur une serviette de plage. Oh, leur sale gueule de capitulation. Des macchabés ! Matthieu n'avait jamais eu l'obsession de la mort. Mourir à vingt, trente ou cinquante ans n'avait aucune importance. Foutaise de littérateur ! C'était vivre qui était important. La violence en revanche, il lui trouvait tout le charme du printemps. Avec ses montées de sève, ses explosions de couleur, cette flamboyance électrique du ciel reflétant tout ce soleil de feu chargé de faire revivre la nature. Alors la guerre ne lui faisait pas peur.
Le discours rationnel, orthonormé, économique, mettant en avant ces courbes fléchissantes qui vantent le point de rupture entre vieilles valeurs et forces du progrès, ne trouvait en lui aucun écho. Le bonheur sous cellophane lui était étranger… Il se foutait du réconfort du bonheur vulnérable, soumis et confortable. Matthieu croyait en la joie ! La vie est joyeuse, c'est son credo. Il y croyait et trouvait là quelque chose d'essentiel et de fort, comme un alcool pur sortant de l'alambic familial. Pour lui, cette joie était aristocratique. C’est complexe la joie, d’abord parce qu’il y en a de différents types. Celle de Matthieu était la joie sombre. Tout le monde n'est pas capable de comprendre un message complexe. Ce qu’il faut retenir, c’est que Matthieu avait toujours été un individualiste tenté par les aventures collectives. Dans l'urgence de la révolte, il était prêt à offrir la joie à tous. C’était un risque à courir... Dieu reconnaitrait les siens.
- Tu fais une connerie, lui répétait ses proches
- Ca ne fait rien, et si on doit tous y rester, et bien... vive la joie cria-t-il ! Ça se finit toujours par la mort, mais avant il y aura eu la vie !
Il savait qu’il ne serait pas celui qui annoncerait l’avènement de cette joie pour l’édification d’une nouvelle civilisation. Il n’avait pas la gueule de l’emploi. Ses traits anguleux et froids, son sourire au troisième degré, le prédestinaient plus à être le précurseur de la révolte, le conquistador envoyé dans le monde des ignorants pour les civiliser ; bien plus que le charismatique prédicateur de la joie. Lui serait plus le sabre que le goupillon. Après viendraient les bâtisseurs. Ca tombait plutôt bien, il avait fréquenté la guerre moderne, ses excès de colère et de débauche. Spécialiste de la manipulation opérationnele d'armes légères, il démontait le Glock sans y penser, se levait la nuit pour faire un chrono démontage-remontage d’un HK ou d’une Kalach. En tactique, il avait une perception juste de son efficacité après un apprentissage sur une base vicariante rapidement confrontée à l’expérience terrain. Il s‘était frotté aux voyous que la république s’offrait : la Légion étrangère parachutiste. Sa botte secrète était le jeu. Comme tous les prédateurs, il s’amusait avec ses proies avant le grand buffet sanglant. Ses amis l’appelaient « Matthieu le rouge », ce qui avait porté bien souvent ses ennemis à se tromper. Le rouge était pour le sang, et non pas pour quelques petites convictions. Matthieu était responsable de la cellule « opérations »... Comme si à un fauve, en plus de sa détente et de ses crocs, on avait donné un permis de chasse
La conquête moderne n'est pas celle des institutions, mais celle de ses centres stratégiques. Elle n'est pas forcément l'œuvre du peuple ou de l'armée mais peut-être plus efficacement celle d'un petit nombre de techniciens armés, motivés, bien entrainés et capables de faire fonctionner ces centres techniques : électricité, eau, communications, médias, gares ou aéroport. Se maintenir au pouvoir nécessite l'appui d'un parti, le conquérir pas. Mattieu savait tout cela ! Il était celui chargé de créer le léger déséquilibre de l’édifice, pour permettre aux cellules « techniques », déjà en place, de faire basculer lentement, par vacillations à amplitudes de plus en plus grandes, le bloc institutionnel... qui finit par tomber dans l’éclatement nauséabond d’un fruit trop mûr.
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Orgueilleux, je me voyais du siècle des barons
- Le 11/12/2015
- Dans Ligne de faille
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Orgueilleux, je me voyais du siècle des barons, des brigands et des explorateurs, du siècle fort. Je rêvais d’espaces vierges à conquérir monté sur des purs sangs. Je chargeais aux côtés d’émérites autant que vertueux bagarreurs. Je ne voulais que d’étranges mots rugueux qui démolissent et des sabres qui tranchent sans autres pensées que celles de vaincre et bâtir. Je n'étais aucunement prédestiné pour cette époque molle, fade, manquant de virilité et d'ardeur. Je n’étais pas prévu sous cet angle où les inutiles guerres horizontales servent à éviter les saines révoltes verticales. Je n’ai rien à faire dans cette époque où l’on ne pense qu’à défaire. Je ne cautionne donc ni les soubresauts ridicules ni les idées vagues défendues par le monde ces derniers temps. Je vous demande d’ailleurs de prendre connaissance de mon message à la communauté internationale : je déclare officiellement mon indépendance. Et voyez mon orgueil comme étant la raisonnable récompense du maintien de ma dignité. Cette décision prend effet aujourd’hui à minuit.
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Nous étions de jeunes gens de grand chemin
- Le 23/08/2015
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Nous étions de jeunes gens de grand chemin, indociles, aux aguets, fascinés, à l’appétit sans scrupule. Nous fréquentions le dehors buissonnier pour modeler des chemins sans nous porter garant de rien. C’était l’heure de sortir de soi avec avidité. Nous avons côtoyé les saccages, l’effraction, les camps-volants, les maraudes, l’absolutisme, les assauts, les nuits au bivouac, les escales repues, l’amour d’une femme et le goût de voir nos fils grandir. Aucune veille ne nous a épuisés, rien n’est venu rétrécir nos aspirations, aucun alibi n’est venu nous excuser faussement d’une désertion quelconque, aucune valeur n’a été répudiée. Nous avons été de beaux combattants de première ligne, sans scrupule inutile, le poing sans mesure, le cœur grandiose.
Nous sommes là, maintenant affichant solidement notre vigueur de condottières aguerris. Debout, sans jamais avoir abdiqué malgré nos excès en tout. Nous sommes là, à voir nos vies mêlées à cette génération qui galvaude les mots qui ont mené l’assaut à nos côtés, qui démantèle les redoutables figures de proue de nos navires, qui dément nos enfants, dénature nos femmes, efface ce que la vie a de plus subtil, de plus fragile, de plus élégant, de plus racé. Ils ne sont pas la génération future mais celle qui a grandi à nos côtés. Ce n’est pas un procès de la dernière jeunesse, c’est celui de notre génération.
Nous avons vu les fumées des bastions défaits, les danses nouvelles où les pitres remplacent les prêtres, la dérive de ces continents que sont les normes et les valeurs, l’ensemencement scientifique de tout : maïs, femmes, génisses, sans distinction. Nous avons tenté de trouver un sens à tout cela, même contraire, ou une illusion de sens ; mais il n’y a rien. Alors nous avons cherché la confrontation, le défi, la guerre, pour mener le combat contre cette nuée évanescente, instable. Nous n’avons discerné aucun adversaire solide et il n’y a aucun idéal, hors une infâme vigilance présomptueuse pour mener en toute quiétude une quête éperdue d’un chaos nihiliste plié à leur mesure. Aucun levain, aucun espoir hors celui de trouver l’or dans les brèches, l’illusion d’avoir brisé tous les modèles, d’avoir modelé la nature, la nature de l’homme ; d’être libre parce que dépossédé de tout, même de soi… pour ne voir que son propre reflet stérile, androgyne, chimérique, magnifié dans l’inexistence et le reniement des différences. Alors « on » (ce maudit « on » qui se veut captif) s’éclaircit l’anus à coup de laser, on se rabote le gras, on se fait des faux-culs, on se modèlise les pectoraux et les seins. On s’expose, se renifle le derrière, on mange du quinoa-Monsanto, on regarde la même télévision, on écoute la même musique, on exige le même salaire, les mêmes vacances, les mêmes enfants pondus par des femmes-marchandises exotiques. La génération en place rêve de prothèse, de calibrage, de clonage allant du même au même… la génération en place rêve d’élevage en batterie…
Le démenti encore pubère viendra de nos enfants qui remuent les couteaux dans le repliement des feux que l’on a préservés. Nous leur apprenons la forge, le feu et la guerre.
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Soyons des vivants maudits, forts et joyeux.
- Le 09/05/2015
- Dans Ligne de faille
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Tiède à vingt ans, c’est être froid à quarante. La tiédeur c’est la laideur de la mort précoce. Soyons des vivants maudits, forts et joyeux. Le réel mérite un effort, un élan, un combat. Pas de pitié pour les tièdes, pas d’indulgence pour les tristes, aucune amabilité portée à notre époque morte. Il faut inquiéter les prudents, et cela exige bien un peu de sang, de sueur et de larme. Il y a une palpitation, un appel de sens, un scintillement qui a besoin de nous. L’existence a besoin d’incandescence pour rester vivante longtemps Après, il sera trop tard ... La nuque tailladée par le soleil faisons la moisson d’excès… Aux lames citoyens… allons… fouillez bon sang… fouillez le sang.
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Tabula Rasa
- Le 15/02/2015
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Tabula Rasa, ultime barbare annonçant la civilisation mythique !
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Se mettre en danger !
- Le 12/10/2014
- Dans Pneumatiques
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Se mettre en danger, c’est la clef de toute vie intéressante.
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Sous le voile de cette vision irénique d'un monde sans ennemi
- Le 24/08/2014
- Dans Ligne de faille
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Ne percevez-vous pas ce que Charles Péguy appelait les prodromes annonciateurs, les événements infimes qui sont les signes annonciateurs et presque invisibles de grands bouleversements à venir. Ils sont là, encore sous le voile de cette vision irénique d'un monde sans ennemi. Ils bougent !.
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Se battre, hurler de joie ...
- Le 11/08/2014
- Dans Pneumatiques
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Alors, on peut relever la tête et prendre les armes. Il ne reste qu’à se battre et à hurler de joie. La guerre est noble. Il ne peut y avoir de vie sans combat ; le refuser c’est accepter la servitude. Je suis fier de mes passions, comme de mes erreurs. Je suis fier de mon miroir. La profondeur de nos défauts est le reflet de notre démesure. Je veux vivre encore, je veux aller plus loin. D’ailleurs j’ai décidé de ne pas mourir. Je n’abandonnerai jamais la vie et je le jure devant tous les dieux et tous les diables. Jamais je n’abandonnerai la vie.
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Ami de nid d'aigle
- Le 09/08/2014
- Dans Pneumatiques
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O mon ami, ami enraciné, ami de nid d’aigle au visage d’ombre et d’éclair, nous voilà Princes d’Empire et de bordées sur notre forteresse pour l’avoir conquise dans la furie de nos galops. Nous nous sommes retrouvés dos à dos, face aux autres, pour des mots, des pensées brunes ou blondes, des projets de révolte, le même goût du sel et des vents violents et la même vision d'une terre ultime.
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Dilapider dans l’amitié
- Le 21/07/2013
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L’amitié, c’est une république libre par-delà les nivellements, l’anonymat, l’égalitarisme ou l’idée de clôture frontalière. C’est le monde des amateurs de rugby, de bel canto et de tauromachie, celui des flâneurs de haute-mer et des baroudeurs, on y croise des anars en tweed et des aristos effrontés. Au gré des tapages, la coterie est promptement baptisée de noms obscurs : anarchistes de droite, chouans, hussards ou uhlans. Plus sûrement, c’est libre que l’on va rôder du côté de l’aventure humaine avec nos gueules viriles et riantes, trimbalant une idée généreuse qui va du clan à la société secrète, sans drapeau ni slogan à la recherche d’une limite franchissable entre bistrot et château… vaste programme. Sur ces terres, on promène avec légèreté nos boudes hautaines, nos postures d’insolence et notre humour féroce. C’est le Poulbot sabrant le champagne chez Monsieur le Marquis, le talent railleur et le goût du panache, histoire de goûter de la distinction et dilapider dans l’amitié… Une façon légère de se prendre au sérieux, comme une charge sabre au clair, en gant blanc et en éclat de rire.
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Base d'assaut
- Le 01/06/2013
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Mes principales intentions de révolte restent toujours en formation de combat, mal dégagées de l’ombre. Je suis toujours sur cette tension, prêt à bondir.
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Conjuration
- Le 09/03/2013
- Dans Pneumatiques
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Une preuve irréfutable
- Le 25/06/2012
- Dans Pneumatiques
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Je dois laisser des preuves irréfutables que j’ai fouillé le monde jusqu’au plus profond de ses tripes.
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Tant pis !
- Le 12/06/2012
- Dans Pneumatiques
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L’époque comme ses adeptes n’admettent plus l’insolence irrespectueusement des idées tranchées. Je ne sortirai de celles-ci que pour monter à l’assaut.
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Au galop de charge !
- Le 14/04/2012
- Dans Pneumatiques
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Il ne faut pas attendre d'être propulsé par l'histoire, il faut l'être par ses propres conflits au galop de charge !
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La 'retira' de l'histoire
- Le 27/03/2012
- Dans Ligne de faille
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Au fond, mes contemporains se sont mutilés et ne se sont réduits qu’à une petite servilité, pour échapper au champ de bataille. Leur colère jalouse s’exerce aujourd’hui à l’encontre de ceux qui ont conservé un penchant assidu pour le combat au corps à corps.